samedi 21 octobre 2017

L'Omerta

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Les familles des jihadistes européens crient à l'unisson: "nous n'avons rien vu venir"!


Peut on raisonnablement et après de nombreuses failles parues dans ce système de défense, croire ce genre de professions de foi?

Récemment en France, la maman d'un jeune jihadiste, parti se battre en Syrie, et qui envoyait de l'argent à son fils, fut condamné par un tribunal français.


A Bruxelles,  une autre maman d'un jihadiste, reconvertie en pédagogue scolaire anti-jihad,  fut épinglée par les limiers de l'anti radicalisme et inculpée pour le motif de l'aide financière à un mouvement terroriste.

Cette maman s'était épanchée des mois durant sur les plateaux de télévision, racontant qu'elle "n'avait rien vu venir" et qu'en sus, son fils était mort en Syrie, sous les bombes d'un raid anti Daech.

Avant de déclarer par la suite et après avoir été pincée pour l'envoi d'argent à son fils "mort" en Syrie, que ce dernier était toujours en vie.

https://youtu.be/IbN1N1ToZTIhttps://youtu.be/IbN1N1ToZTI

Les membres des familles de Belgique dont les enfants ont semé mort et désolation à Paris et à  Bruxelles, n'ont eu de cesse de déclarer que leurs fils étaient partis se battre sans montrer à la maison, le moindre de radicalisme.

Soutenues par un agent de quartier bruxellois, de nombreuses mamans de ces jihadistes ont pris l'option de créer des associations dont l'objectif consiste à sensibiliser le jeune public musulman aux dangers de la radicalisation et du piège jihadiste.

Ces associations ont connu diverses fortunes pour finir par se scinder en petites entités en raisons d'appétits pécuniaires  (subsides et subventions publics)

Celle qui semble avoir tapé dans le mille pour devenir une véritable PME pompeuse des deniers publics n'est autre que Save Belgium, dirigée par la maman d'un jihadiste mort en Syrie

Comment dès lors et sans "avoir rien vu venir", ces parents de jeunes terroristes, pourront elles sillonner les établissements scolaires du pays pour enseigner aux jeunes les techniques promues par les recruteurs dont leurs défunts fils furent victimes?

Il en va de même pour la plupart des mosquées dont les responsables et les imams savent mais préfèrent se taire.




En Islam salafiste, on ne dénonce pas les siens.



D'autant que les écoles coraniques dépendant de ces mosquées ont vu défiler depuis leur enfance, la plupart de ceux qui se sont convertis au terrorisme.

La Commission chargée d'analyser les attentats de Bruxelles ne s'y est point trompée lorsqu'elle z  proposé à l'unanimité l'expulsion de l'actuel imam directeur du centre culturel saoudien, appelé Grande mosquée de Bruxelles et demandé la rupture du contrat liant la Belgique aux Saoudiens, pour ce qui concerne la gestion de ce Centre.

Pour la petite histoire, le gouvernement wallon de Willy Borsus vient de délivrer 25 licences de ventes d'armes wallonnes à l'Arabie saoudite

Nous avions au sein des ICIB (Initiatives citoyennes pour un islam de Belgique) demandé il y a deux ans, aux  mamans des jeunes jihadistes de se joindre à nous pour adresser des témoignages de solidarité aux familles des victimes des attentats parisiens, nous nous sommes retrouvés seuls avec nos fleurs devant l'ambassade de France à Bruxelles.

Les parents des jihadistes avaient préféré s'abstenir d'adresser ce témoignage de solidarité aux familles victimes de ces attentats.

De plus, le Centre islamique de Belgique (la Grande mosquée du Cinquantenaire ) avait refusé de joindre les victimes non musulmanes à la prière de l'absent en mémoire de la seule défunte musulmane (Madame Lafqiri), tombée à Maelelbeek sous les coups des lâches terroristes belges.




les militants et militantes des ICIB commémorent à la station du métro Maelbeek, les victimes des attentats du 22 mars



http://www.jforum.fr/la-taqiya-dans-les-mouvances-islamistes.htmlhttp://www.jforum.fr/la-taqiya-dans-les-mouvances-islamistes.html




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